COMMENT BUDGÉTISER SES TRAITEMENTS RÉGÉNÉRATIFS POUR TRAITER LES CONSÉQUENCES DE LA MÉNOPAUSE

S’occuper des lésions induites par la ménopause est un investissement pour l’avenir. En restant en l’état, les déconvenues vont s’imposer à soi, elles génèreront des désagréments constants et répétés.

On y inclut le fait que la ménopause n’est pas un état transitoire, elle perdure dans le temps. En effet, la déprivation hormonale poursuivra son assèchement et ses lésions. Il faudra donc nourrir de nouveau les tissus régulièrement.

S’en occuper aura dans tous les cas un coût factuel (produits divers, consultations répétées, traitements des conséquences avec parfois interventions ou hospitalisations, errance médicale liée au stress et aux solutions non trouvées, simili-traitements également onéreux, etc… ). Dépenser peu mais souvent revient finalement à une dépense plus importante. Il est regrettable que la CPAM ne se penche pas sur cet aspect de santé des femmes.

Ce budget peut être mis au service des soins régénératifs -qui eux non plus- ne sont pas remboursés mais apportent des solutions plus durables et évolutives dans le temps. Les traitements régénératifs ont des coûts immédiats plus importants mais cette courbe s’inverse dans le temps. La budgétisation de ces dépenses vous permet d’y avoir accès pour un résultat bien supérieur.

Les sommes non dépensées dans la multitude de traitements peuvent donc être capitalisées pour le suivi de traitement régénératifs.

Il est primordial pour ce faire de définir vos priorités en amont si malheureusement les moyens financiers ne permettent pas un accès aisé à ces soins.
Même s’il s’agit d’un sujet épineux et délicat à aborder, nous consommons tous différemment selon nos propres ressources et nos priorités, notre mode de vie. Il est possible d’entrevoir une nouvelle catégorie. Peut être ainsi est-il possible d’y voir plus clair dans son budget alloué à ces traitements. Il peut être intéressant de vérifier ce que la mutuelle rembourse, comment il est possible d’économiser, sur quelle catégorie et à quel rythme.

La planification du programme de traitement dans un premier temps vous permettra d’y voir plus clair. Il faut ensuite choisir la séquence la plus efficace pour soi. Les traitements sont équivalents en théorie sur ce qu’ils apportent, mais en fonction de type de gêne que l’on ressent certains traitements seront plus adaptés et leur effet durera plus longtemps, certaines gênes pourront être ciblées par rapport à d’autres.

Ensuite, Il est utile de conserver son planning et les séquences des traitements déjà entrepris pour être objectif sur les améliorations obtenues et celles attendues, reprogrammer les soins judicieusement et constater le confort de vie dans la durée qu’apportent ces soins innovants.

Si cela est possible et si on a le droit d’y recourir, il est préférable de conserver ses mesures hormonales, notamment locales, et bien sûr les mesures d’hydratation locale qui sont des adjonctions clés dans la prise en charge et permettent une meilleure pérennité des traitements régénératifs entrepris.